Depuis quelques temps ce genre de fait divers est devenu monnaie courante. Des élèves qui insultent leurs profs, d’autres élèves et certaines minorités sur les réseaux sociaux sous réserve d’anonymat. En effet, sous pseudonyme, il semble plus facile d’exprimer clairement son ressenti auprès de personnes à qui nous devons le respect dans la vie réel.
Mais croire à l’anonymat sur la toile ne serait-il pas un peu utopique, surtout quand il y a délit? Les autorités ont les moyens de vous faire parler. Du moins, si ce n’est pas vraiment vous, votre identité numérique.
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Chroniques d'une CM 